Envie de démarrer l’année sur les chapeaux de roue ? Alors allez voir Burnout, le nouveau film de Yann Gozlan (Captifs, Un Homme Idéal). Haletant et nerveux, le film mérite mieux que son affiche un peu stéréotypé. En salle le 3 janvier.

La semaine passée alors que vous courriez les magasins pour préparer les fêtes, nous étions chez Gaumont pour assister à l’avant-première de Burnout. L’affiche et les quelques secondes de la bande-annonce que j’avais vues me laissaient imaginer un petit film d’action à moto et à la française et cela n’augurait pas forcément d’un grand film. Mais fort heureusement, je ne me suis pas arrêté à ça. Car le film vaut mieux que son affiche. Nerveux et très sensoriel, le film nous plonge dans la descente aux enfers de son personnage principal Tony, interprété à merveille par François Civil. Les scènes d’action à moto sont très cinématographiques, mais dans Burnout elles sont non seulement spectaculaires mais elles servent vraiment le récit de l’intérieur, grâce à une utilisation subtile de la vue subjective. Les autres membres du casting ne sont pas en reste, de Manon Azem dans le rôle de l’ex dépassée à Olivier Rabourdin dans celui du patron mafieu, sans oublier la belle performance de Samuel Jouy en petite frappe très agressive…

Comme d’habitude, on essaie de vous donner envie sans trop en révéler… Alors passons au synopsis :

Tête brûlée, accro aux sensations fortes, Tony ne vit que pour une seule chose : devenir pilote professionnel de moto superbike. Jusqu’au jour où il découvre que la mère de son fils est liée à la pègre manouche. Seule issue pour la sortir de cet engrenage : mettre ses talents au service des truands. Pilote de circuit le jour, go-faster la nuit, Tony est plongé dans une spirale infernale qui le mène au bord de la rupture…

Vous pouvez aussi jeter un oeil à la bande-annonce :

Photos :

 

Bonus :

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